-Ils sont tous formidables.
Le Souriceau en voyant tout le monde travailler fut impressionné et se figea.
Il se déprima encore plus en pensant :
Je ne sers à rien, je suis maladroit, ma voix est faible,
Je suis petit.
Je suis incapable de sauver un ami.
Je suis nul !
Le Souriceau ferma les yeux très forts.
C’est alors que